

Montmartre : nos meilleures adresses de restaurants à ne pas manquer
Montmartre, véritable emblème de la capitale, continue de séduire les visiteurs venus des quatre coins du monde. Entre ses ruelles pavées, ses escaliers légendaires, ses monuments emblématiques comme le Sacré-Cœur, le Moulin Rouge ou encore le Moulin de la Galette, le quartier offre une atmosphère unique, à la fois pittoresque et authentique.
Pour ceux qui s’y aventurent, la promenade de la place des Abbesses à la place du Tertre promet un charme indéniable. Mais explorer Montmartre, ça creuse ! Heureusement, ce quartier perché sur les hauteurs de Paris regorge d’adresses gourmandes. Voici une sélection de restaurants qui valent le détour, qu’on soit Parisien ou touriste de passage.
L’Hôtel Particulier Montmartre : un havre de paix végétal
À l’abri de l’agitation urbaine, dissimulé derrière le passage du Rocher de la Sorcière, l’Hôtel Particulier Montmartre propose une parenthèse enchantée. Dans une ancienne demeure appartenant à la famille Hermès, ce lieu confidentiel abrite un jardin luxuriant, une terrasse paisible et une table bistronomique raffinée. Du petit-déjeuner au dîner, en passant par le brunch du week-end ou les cocktails en soirée, ce cadre verdoyant est idéal pour se ressourcer.
Bistrotto : l’Italie à petit prix
Rafael Dos Santos, déjà connu pour sa taverne portugaise Sapinho, propose avec Bistrotto une incursion gourmande en terres italiennes. Avec un menu déjeuner dès 12 €, ce bistrot italien à l’ambiance chaleureuse séduit par ses plats généreux et savoureux. Une belle adresse pour se régaler sans se ruiner, en plein cœur de Montmartre.
Le Boréal : la nouvelle adresse tendance signée Top Chef
Imaginé par Philippine Jaillet et Charles Neyers, tous deux candidats de l’édition 2025 de Top Chef, Le Boréal se présente comme un café-bistrot à l’esprit résolument moderne. Le matin, on y savoure un café de qualité ; le midi et le soir, une cuisine de bistrot inventive ; et le week-end, un brunch copieux ravit les gourmands. Le lieu se distingue aussi par son engagement écoresponsable.
Sapinho : une taverne portugaise sur les hauteurs
Sapinho, niché sur les hauteurs de la butte Montmartre, respire la convivialité. Ce restaurant aux accents portugais authentiques propose une cuisine généreuse, à déguster dans une ambiance chaleureuse. On y retrouve les saveurs de Lisbonne sans quitter Paris, dans un cadre simple et accueillant.
L’Almanach Montmartre : entre bistronomie et art
À la croisée des chemins entre gastronomie et création artistique, L’Almanach Montmartre offre une expérience culinaire originale. Installé au sommet de la butte, ce restaurant allie cuisine bistronomique et programmation culturelle. Expositions, performances et bons petits plats se côtoient dans un esprit de partage et de découverte.

Quelle imprimante 3D choisir en 2025 ? Comparatif des meilleurs modèles pour débutants et passionnés
La démocratisation des imprimantes 3D a transformé le rêve en réalité : chacun peut désormais concevoir ses propres objets à la maison. Grâce à une technologie devenue plus accessible et des prix en baisse, l’impression 3D séduit un public toujours plus large. Que ce soit pour réaliser des pièces techniques, des prototypes, des objets décoratifs ou des figurines, il existe un modèle adapté à chaque usage. Voici une sélection de trois imprimantes 3D qui se démarquent par leurs performances, leur fiabilité et leur rapport qualité-prix.
Creality Ender 3 V2 Neo : une référence pour débuter
La Creality Ender 3 V2 Neo est pensée pour les utilisateurs souhaitant s’initier à l’impression 3D dans les meilleures conditions. Préassemblée à 95 %, elle peut être opérationnelle en une dizaine de minutes. Cette version améliorée de la célèbre Ender 3 est équipée d’un extrudeur Bowden tout en métal, plus robuste et offrant une meilleure force d’extrusion. Le châssis a lui aussi été renforcé pour plus de stabilité durant l’impression.
L’extrudeur dispose d’une molette facilitant l’insertion et le retrait du filament. Compatible avec les filaments PLA, ABS et PETG, cette imprimante offre une précision de 100 microns et peut atteindre une vitesse d’impression de 120 mm/s. Le volume maximal est de 220 x 220 x 250 mm.
Son écran couleur de 4,3 pouces (non tactile) propose une interface revisitée, permettant de visualiser les modèles et gérer les impressions directement sur l’appareil. On appréciera également sa carte mère silencieuse, son plateau chauffant et sa plaque PEI magnétique qui facilite le retrait des objets imprimés.
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Filaments : PLA, ABS, PETG
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Volume d’impression : 220 x 220 x 250 mm
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Vitesse maximale : 120 mm/s
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Dimensions : 438 x 424 x 472 mm
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Précision : 100 microns
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Systèmes compatibles : Windows, Mac, Linux
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Poids : 7,8 kg
Anycubic Kobra Neo : l’efficacité à prix doux
L’Anycubic Kobra Neo est une imprimante FDM particulièrement intuitive, idéale pour les débutants mais aussi adaptée aux utilisateurs plus expérimentés. Prémontée en grande partie, elle se distingue par un extrudeur Direct Drive capable d’atteindre 260 °C, assurant une compatibilité avec plusieurs types de filaments : PLA, ABS, PETG et TPU.
Elle dispose d’un plateau chauffant recouvert de PEI et d’un système de nivellement automatique en 25 points, garantissant une impression uniforme dès les premiers essais. Son volume d’impression est de 220 x 220 x 220 mm, pour une vitesse maximale de 100 mm/s. Elle intègre un petit écran de 2,4 pouces pour piloter l’impression en toute simplicité.
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Filaments : PLA, ABS, PETG, TPU
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Volume d’impression : 220 x 220 x 220 mm
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Vitesse maximale : 100 mm/s
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Dimensions : 490 x 445 x 443 mm
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Précision : 100 microns
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Systèmes compatibles : Windows, Mac, Linux
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Poids : 7 kg
Elegoo Mars 3 : la précision de l’impression résine
Pour ceux qui recherchent une précision supérieure, la Elegoo Mars 3 est une imprimante 3D à résine particulièrement recommandée. Semi-assemblée, elle est simple à installer et très conviviale. Grâce à sa technologie mSLA, elle propose une résolution XY de 35 microns, permettant d’obtenir des impressions d’une grande finesse, idéale pour les miniatures ou les prototypes détaillés.
Son écran LCD monochrome Ultra 4K de 6,66 pouces affiche une résolution de 4098 x 2560 pixels, garantissant une définition très précise. Le volume d’impression est certes plus modeste (143 x 89 x 175 mm), mais largement suffisant pour des créations de petite taille. Le logiciel ChituBox Pro, livré avec l’imprimante, permet de gérer les modèles avec efficacité, et l’appareil fonctionne également de manière autonome via un port USB.
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Consommable : résine mSLA
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Volume d’impression : 143 x 89 x 175 mm
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Vitesse : 1,5 à 3 secondes par couche
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Dimensions : 478 x 413 x 485 mm
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Résolution XY : 35 microns (4098 x 2560 px)
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Épaisseur de couche : 100 microns
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Systèmes compatibles : Windows, Mac, Linux
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Poids : 5,2 kg
Conclusion
Que vous soyez débutant ou amateur éclairé, l’offre actuelle en matière d’imprimantes 3D vous permet de trouver un modèle adapté à vos besoins. La Creality Ender 3 V2 Neo, l’Anycubic Kobra Neo et l’Elegoo Mars 3 couvrent chacun des usages différents, allant de l’apprentissage ludique à la réalisation de pièces extrêmement détaillées. L’impression 3D n’a jamais été aussi accessible — il ne vous reste plus qu’à choisir celle qui vous accompagnera dans vos créations.

La sonde Lucy de la NASA capture une image rapprochée d’un astéroïde à la forme étrange
La sonde spatiale Lucy de la NASA a effectué avec succès un survol rapproché de son deuxième astéroïde cible au cours du week-end, révélant des images étonnantes de sa forme allongée et de sa structure à double lobe.
L’astéroïde en question, baptisé Donaldjohanson en hommage à l’anthropologue ayant découvert les fossiles de l’ancêtre humain Lucy, s’est avéré être une binaire de contact. Cela signifie qu’il s’agit d’un objet composite résultant de la fusion de deux corps célestes plus petits lors d’une collision lente. La NASA a décrit sa forme particulière, marquée par des crêtes au niveau de son « cou » étroit, comme ressemblant à deux cornets de glace emboîtés.
« L’astéroïde Donaldjohanson présente une géologie remarquablement complexe », a déclaré Hal Levison, planétologue à l’Institut de recherche sud-ouest (Southwest Research Institute) et chercheur principal de la mission Lucy. « L’étude approfondie de ces structures nous apportera des informations précieuses sur les éléments constitutifs et les processus de collision qui ont mené à la formation des planètes de notre système solaire. »
Le 20 avril, Lucy est passée à seulement 960 kilomètres de Donaldjohanson, prenant une photo toutes les deux secondes environ pendant le survol. Ces images ont confirmé la nature binaire de contact de l’astéroïde. Par ailleurs, les mesures révèlent que Donaldjohanson est légèrement plus grand que ce que l’on pensait, atteignant une longueur de près de 8 kilomètres pour une largeur maximale de 3,5 kilomètres.
Cette rencontre, qui a eu lieu pendant le week-end de Pâques, intervient trois ans et demi après le lancement de la sonde et 17 mois après son premier survol de l’astéroïde Dinkinesh et de sa mini-lune, Selam. Fait remarquable, Selam s’est lui aussi révélé être une binaire de contact.
Pour les scientifiques, ces deux survols dans la ceinture principale d’astéroïdes — située entre les orbites de Mars et de Jupiter — ne sont qu’un prélude à l’objectif principal de la mission Lucy : l’étude détaillée des astéroïdes troyens de Jupiter. Ces corps célestes sont piégés de manière stable dans des points de résonance de l’orbite de Jupiter, en raison de la forte influence gravitationnelle de la planète géante. Aucune sonde n’a encore jamais approché un astéroïde troyen.
Tom Statler, scientifique du programme Lucy à la NASA, souligne que la qualité des premières images témoigne des « capacités impressionnantes » des instruments embarqués. « Le potentiel de Lucy à révéler de nouveaux chapitres de l’histoire de notre système solaire, lorsqu’elle atteindra les astéroïdes troyens, est immense », a-t-il affirmé.
Au cours des prochaines semaines, les scientifiques vont récupérer, traiter et analyser les données issues des différents instruments de la sonde : une caméra monochrome, une caméra couleur, un spectromètre infrarouge et un spectromètre thermique. D’ici là, Lucy poursuivra sa traversée de la ceinture d’astéroïdes, où elle passera la majeure partie de l’année.