

La Maison-Blanche envisage de substituer le Bitcoin à l’or dans ses réserves stratégiques
Le gouvernement américain pourrait être à l’aube d’un changement de paradigme majeur concernant sa politique sur les actifs numériques. Une nouvelle orientation stratégique, proposée par la Maison-Blanche, suggère de considérer le Bitcoin comme un actif de réserve équivalent à l’or. Cette annonce intervient dans un contexte de forte volatilité pour les cryptomonnaies, dont les cours ont récemment chuté suite à la publication d’indicateurs d’inflation américains plus élevés que prévu.
Une nouvelle doctrine pour les actifs numériques
Un groupe de travail de la Maison-Blanche sur les actifs numériques a récemment publié un rapport de 160 pages intitulé « Renforcer le leadership américain dans la technologie financière numérique ». Élaboré avec la participation des principaux départements et agences fédérales, dont le Trésor, le département du Commerce, la Securities and Exchange Commission (SEC), la Commodity Futures Trading Commission (CFTC), l’Office of the Comptroller of the Currency (OCC) et la Réserve Fédérale (Fed), ce document propose une refonte complète de l’approche américaine.
La recommandation la plus audacieuse est de développer une stratégie permettant aux États-Unis d’acquérir davantage de Bitcoins pour les intégrer à leurs réserves stratégiques. Le rapport insiste sur le fait que cette politique doit être mise en œuvre sans recourir à de nouvelles enveloppes budgétaires ni à une augmentation des impôts, afin de ne pas peser sur les contribuables américains. Bien que les méthodes de financement ne soient pas explicitement détaillées, les experts du secteur estiment que le gouvernement pourrait réallouer une partie de ses actifs existants, notamment en vendant une portion de ses réserves d’or pour acheter des Bitcoins. Le gouvernement américain, qui détient actuellement environ 200 000 Bitcoins, a réaffirmé son intention de ne pas les vendre et de les conserver comme un actif de réserve à long terme, au service des objectifs politiques nationaux.
Cadre réglementaire : entre interdiction et innovation
Le rapport officialise également une position ferme contre la création d’une monnaie numérique de banque centrale (MNBC). Conformément à un décret présidentiel et à une loi adoptée par la Chambre des représentants, la Réserve Fédérale ne pourra pas émettre ou gérer unilatéralement une monnaie numérique ; une telle initiative nécessiterait au préalable une législation spécifique votée par le Congrès.
Parallèlement, l’administration clarifie le statut des stablecoins adossés au dollar. La loi « GENIUS », récemment signée par le Président, instaure un cadre réglementaire précis pour ces actifs, avec des exigences claires en matière de licences, de réserves, de transparence et de protection des consommateurs. Les stablecoins sont désormais classés comme une catégorie d’actifs distincte, et non comme des valeurs mobilières ou des matières premières.
Le document préconise également une approche plus ouverte de la part des régulateurs bancaires. Il leur est demandé de ne pas restreindre l’accès aux services pour l’industrie des cryptomonnaies, mais plutôt d’appliquer des exigences de fonds propres qui reflètent fidèlement les risques associés. L’objectif est d’apporter plus de clarté et de transparence aux processus d’obtention de licences bancaires et d’accès aux comptes maîtres de la Fed, tout en soutenant l’innovation, notamment via des réglementations sur mesure pour les logiciels de portefeuilles entièrement décentralisés.
Lutte contre la criminalité et clarifications fiscales
La stratégie de lutte contre les activités illicites est également redéfinie. Plutôt que des mesures de répression générales qui pourraient freiner l’activité légitime, l’accent sera mis sur des « enquêtes ciblées », favorisées par un meilleur partage d’informations entre les secteurs public et privé.
Sur le plan fiscal, l’administration s’engage à clarifier plusieurs zones d’ombre, notamment le traitement des plus-values latentes sur les actifs numériques dans le calcul de l’impôt minimum des sociétés, la fiscalité des revenus issus du staking et du minage, ou encore les transactions de wrapping et unwrapping. L’application des règles sur les ventes fictives (wash sales) et la possibilité d’accorder des avantages fiscaux sont également à l’étude.
Selon Kang Bong-ju, expert au Centre Financier International, « ce rapport signale une orientation clairement pro-entreprise, visant à intégrer les actifs numériques dans le cadre légal tout en assouplissant la réglementation sur leur émission et leur circulation ». Il note cependant que « l’allègement des obligations de lutte contre le blanchiment d’argent pourrait compliquer l’identification des acteurs malveillants ». La pérennité de cette politique après un éventuel changement d’administration reste la principale incertitude.
Le marché réagit à l’inflation américaine
Cette potentielle réorientation stratégique intervient alors que le marché des cryptomonnaies fait face à une forte turbulence. Le 15 août, vers 10h00, le Bitcoin s’échangeait autour de 118 000 $, en baisse de plus de 4 % sur 24 heures. La veille, il avait pourtant battu son record historique en dépassant les 124 200 $. L’Ethereum a suivi une tendance similaire, chutant d’environ 3 % pour s’établir à 4 580 $, après avoir frôlé les 4 770 $.
Cette correction brutale s’explique par la publication, le 14 août, de l’indice des prix à la production (IPP) américain pour le mois de juillet. Celui-ci a augmenté de 0,9 % par rapport au mois précédent, déjouant largement les prévisions des analystes qui tablaient sur une hausse de 0,2 %. Considéré comme un indicateur avancé de l’inflation des prix à la consommation, cet indice a ravivé les craintes inflationnistes.
Avant cette publication, des données macroéconomiques plus faibles avaient renforcé l’espoir que la Réserve Fédérale abaisse ses taux d’intérêt dès le mois de septembre. Ces anticipations avaient provoqué un afflux de capitaux vers les actifs à risque comme les cryptomonnaies, entraînant leur envolée. Cependant, les chiffres de l’IPP ont douché cet optimisme. Selon l’outil FedWatch du CME Group, la probabilité d’une baisse des taux en septembre a reculé, tandis que la possibilité d’un maintien des taux au niveau actuel a refait surface, passant de 0 % à 7,9 %. Ce changement de perspective a suffi à inverser la tendance sur le marché des cryptomonnaies.

La Quequetterie : le coffee-shop le plus audacieux et sucré de Paris
Paris regorge d’adresses insolites, mais certaines parviennent à surprendre même les plus avertis. Au cœur du deuxième arrondissement, un petit coin gourmand attire tous les regards et attise la curiosité des amateurs de douceurs : La Quequetterie. Installé rue d’Aboukir, ce coffee-shop a rapidement gagné sa réputation grâce à une spécialité aussi originale que décalée : des gaufres maison généreusement garnies, à la forme pour le moins suggestive.
Depuis son ouverture il y a près d’un an, La Quequetterie n’a cessé de susciter l’enthousiasme et l’étonnement, supplantant l’ancien restaurant Fuumi qui était connu pour ses sushis-burritos. Ce nouveau repère, pensé pour les amateurs de street-food sucrée, invite les plus gourmands à vivre une expérience à la fois drôle et délicieuse.
Ici, on oublie la gaufre traditionnelle. Les créations de La Quequetterie prennent la forme d’un clin d’œil malicieux, tout en misant sur le goût et la générosité. Les curieux affluent pour savourer ces gaufres moelleuses, parfois recouvertes de nappages appétissants et de garnitures originales. L’aspect ludique des pâtisseries fait sourire, mais c’est surtout la qualité de la pâte et l’originalité des saveurs qui séduisent les clients dès la première bouchée.
La carte joue la carte de l’audace avec des recettes aux noms évocateurs comme Sexy Coconut, Black and White, Sugar Daddy, ou encore la fameuse Licorne. Chaque création peut être adaptée selon les envies, avec des options sans gluten pour que chacun puisse en profiter. Et pour ne rien enlever à l’expérience, La Quequetterie propose aussi une version féminine de sa gaufre signature, la « foufoune », tout aussi soignée et gourmande.
L’originalité du concept n’a pas tardé à faire le tour des réseaux sociaux. Les photos des créations ludiques et colorées s’invitent sur les comptes Instagram des foodies parisiens, contribuant au succès viral de l’adresse. Au-delà de la provocation assumée, c’est l’envie de surprendre et de régaler qui anime toute l’équipe de La Quequetterie.
Que l’on vienne pour s’amuser ou simplement pour satisfaire une envie de sucré, La Quequetterie propose une parenthèse légère et gourmande en plein centre de Paris. Une adresse qui assume son humour et son audace, sans jamais négliger la qualité de ses produits, et qui s’est imposée en un temps record comme l’un des spots incontournables pour les amateurs de street-food sucrée dans la capitale.
À la fois impertinente et conviviale, La Quequetterie continue d’attirer les gourmands, les curieux et tous ceux qui aiment se laisser surprendre, prouvant que, même dans un Paris où l’offre culinaire est foisonnante, il est encore possible de se démarquer avec créativité et bonne humeur.

4G et LTE : quelles véritables différences ?
Les termes 4G et LTE sont souvent utilisés de manière interchangeable, ce qui peut prêter à confusion. Pourtant, il existe bel et bien des différences notables entre ces deux technologies mobiles, tant en matière de normes que de performances. Décryptage d’une distinction plus complexe qu’il n’y paraît.
Des standards multiples derrière la 4G
Lorsque l’Union internationale des télécommunications (UIT) a défini les critères techniques de la 4G en 2008, plusieurs technologies ont été regroupées sous cette appellation. Parmi elles, le WiMAX, la HSPA+ et la LTE. Toutefois, ces premières versions n’atteignaient pas encore les débits exigés pour être considérées comme de la “vraie” 4G selon les normes IMT-Advanced.
C’est avec l’arrivée de la LTE-Advanced et de la norme WirelessMAN-Advanced que les véritables performances 4G ont commencé à être atteintes. La LTE-Advanced est une évolution de la LTE classique, proposant des débits beaucoup plus élevés et une meilleure efficacité dans la gestion du réseau.
Pourquoi la LTE a-t-elle été appelée 4G ?
Malgré des performances inférieures, la LTE a pu bénéficier de l’étiquette “4G” pour des raisons essentiellement commerciales. À l’époque, de nombreux opérateurs avaient déjà investi massivement dans cette technologie. L’UIT a donc autorisé l’usage du terme “4G” pour ces réseaux, bien qu’ils ne respectaient pas encore totalement les exigences techniques. D’où l’apparition des expressions “fausse 4G” pour la LTE classique, et “vraie 4G” pour la LTE-Advanced et ses successeurs.
Des différences de débits notables
La LTE dite “classique” permet des vitesses de téléchargement allant jusqu’à 100 Mbps et des vitesses de téléversement pouvant atteindre 50 Mbps. En comparaison, la LTE-Advanced, considérée comme de la “vraie 4G”, peut monter jusqu’à 1 Gbps en téléchargement et 500 Mbps en upload. Soit une différence de performance majeure, notamment pour les usages gourmands en données comme le streaming 4K ou les jeux en ligne.
Et la 4G+ dans tout ça ?
Avec la diversification des appareils et des infrastructures, les opérateurs ont introduit différentes catégories techniques pour désigner les performances réelles atteignables. Cela a conduit à la création de termes simplifiés comme 4G+, voire 4G++, qui correspondent à des évolutions intermédiaires entre la LTE et la LTE-Advanced.
Voici un aperçu des principales catégories et de leurs débits théoriques :
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Catégorie 4 : 150 Mbps en téléchargement, 50 Mbps en upload
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Catégorie 7 : 300 Mbps / 100 Mbps
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Catégorie 9 : 450 Mbps / 50 Mbps
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Catégorie 10 : 450 Mbps / 100 Mbps
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Catégorie 12 : 600 Mbps / 100 Mbps
Ces chiffres représentent des vitesses maximales en conditions optimales. En réalité, peu d’utilisateurs atteignent ces sommets avec un smartphone en situation de mobilité. Les 1 Gbps promis par la LTE-Advanced ne sont réellement accessibles qu’en utilisant un point d’accès fixe à faible mobilité, comme une box 4G très haut débit.
Une avancée continue vers la 5G
En résumé, la LTE est une norme précurseure de la 4G, tandis que la LTE-Advanced en est l’expression la plus aboutie. Si les deux peuvent être appelées “4G”, elles ne proposent pas les mêmes performances. L’introduction de la 4G+ a permis aux opérateurs de mieux distinguer les niveaux de débits offerts, en attendant que la 5G prenne définitivement le relais avec des vitesses encore plus élevées et une latence réduite.

Un moment de détente à deux : massage sur mesure et bain flottant dans un spa d’exception à Paris
Situé au cœur du Quartier Latin, Clemens se distingue comme le tout premier spa aquatique de Paris, offrant une expérience de bien-être immersive dans un cadre historique. Niché dans d’anciennes caves voûtées, cet établissement unique en son genre invite les couples à vivre un véritable rituel sensoriel, alliant relaxation profonde et intimité.
Dès l’arrivée, l’atmosphère feutrée du spa enveloppe les visiteurs dans un cocon de sérénité. Le rituel débute par une mise en connexion douce : assis face à face, les amoureux sont invités à se retrouver dans un moment de présence partagée, simplement en se tenant la main. C’est dans ce climat apaisé que les praticiennes prennent ensuite le relais, chacune se consacrant à un massage personnalisé, parfaitement adapté aux besoins de chacun.
L’huile de massage, délicatement parfumée, est appliquée avec soin, procurant une sensation de confort immédiat sans laisser de film gras. Chaque geste est précis, chaque pression mesurée, pour une détente totale du corps et de l’esprit. Le respect du rythme de chacun est au cœur de l’expérience : à la fin du soin, un temps de pause est prévu pour prolonger les bienfaits du massage.
Mais l’expérience ne s’arrête pas là. Le rituel se poursuit dans un bassin privatif, exclusivement réservé pour une durée de 1h15. Là, dans une eau maintenue à 35°C et enrichie en sel d’Epsom, les corps flottent presque en apesanteur, recréant la sensation unique de flottaison en mer Morte. Ce bain flottant, véritable parenthèse de lâcher-prise, amplifie les effets de relaxation.
Tout est pensé pour optimiser le confort : douche à disposition, appuie-têtes flottants, sérum physiologique pour les yeux, banquette de repos et même une ambiance sonore apaisante diffusée sous l’eau. Ce niveau de détail témoigne de l’attention portée à chaque étape du parcours bien-être.
Au fil du temps, Clemens a su affiner ses prestations en tenant compte des retours de sa clientèle. Grâce à cette approche attentive, le spa s’est imposé comme une adresse incontournable pour les amateurs de détente à Paris. Les effets du sel d’Epsom sont d’ailleurs scientifiquement reconnus : une heure de flottaison équivaut à deux voire trois heures de repos profond.
En ressortant, les visages sont apaisés, les corps régénérés, et les esprits allégés. Une expérience unique à vivre en duo, idéale pour se retrouver et partager un moment hors du temps dans l’un des lieux les plus enchanteurs de la capitale.

Jack Draper face à Carlos Alcaraz : duel explosif en quart de finale à Rome
Le choc tant attendu entre Jack Draper et Carlos Alcaraz se joue aujourd’hui en quart de finale de l’Open d’Italie, promettant un affrontement palpitant entre deux des talents les plus en vue du circuit. Le Britannique, numéro un de son pays, espère franchir un cap supplémentaire sur terre battue face à un spécialiste de la surface.
Draper a brillamment passé l’obstacle Corentin Moutet lors du tour précédent, remportant un duel intense face à un adversaire toujours imprévisible. Il retrouve aujourd’hui Alcaraz, qui a, de son côté, écarté Karen Khachanov avec autorité. Le gaucher britannique est en grande forme sur ocre, comme en témoigne sa récente finale au Masters 1000 de Madrid. Mais ce nouveau test, face au champion espagnol, s’annonce d’un tout autre niveau.
Carlos Alcaraz, connu pour sa dextérité et son explosivité sur terre battue, n’a encore jamais affronté Draper sur cette surface. Toutefois, Draper peut s’appuyer sur deux victoires récentes contre l’Espagnol, dont l’une à Indian Wells en mars, où il avait pris le dessus avant de décrocher le titre. Un autre succès aujourd’hui serait un coup d’éclat de taille dans la carrière du joueur britannique.
L’échauffement avant le combat
À quelques minutes du coup d’envoi, Draper et Alcaraz ont pris place sur le court pour un échauffement léger. Draper, dynamique, multiplie les petits sauts pour activer ses jambes et se mettre en condition. Alcaraz, quant à lui, affiche déjà une grande concentration malgré un petit pansement visible sur l’arête de son nez.
L’ambiance est électrique sur le court central. Draper, accueilli par quelques applaudissements du public romain, semble détendu mais déterminé. Il sait que ce sera sa première confrontation avec Alcaraz sur terre battue, une surface où l’Espagnol excelle depuis plusieurs saisons.
Un passé partagé et un avenir à écrire
Les deux joueurs se connaissent bien : ils se sont affrontés à cinq reprises, avec un léger avantage pour Alcaraz, vainqueur de trois de ces duels. Pourtant, Draper a remporté leur dernière rencontre et a prouvé à plusieurs reprises qu’il était capable de faire tomber les meilleurs, notamment sur dur.
L’interrogation demeure : Jack Draper pourra-t-il rééditer l’exploit et s’imposer une nouvelle fois face au jeune prodige espagnol, cette fois sur une surface qui n’est pas sa préférée ? Les premiers échanges s’annoncent cruciaux pour déterminer la physionomie du match.
Le spectacle est lancé sur le court central de Rome. Draper et Alcaraz s’apprêtent à livrer une bataille intense sous les yeux d’un public déjà conquis.

Sony WH-1000XM3 : un casque audio toujours au sommet à prix réduit
Le casque Sony WH-1000XM3 continue de s’imposer comme une référence incontournable parmi les modèles sans fil à réduction de bruit. Malgré l’arrivée de versions plus récentes, ce modèle reste l’un des meilleurs choix pour ceux qui recherchent une expérience audio de haute qualité sans nécessairement opter pour le tout dernier cri.
Le WH-1000XM3 séduit par un équilibre parfait entre performance, confort et prix. Il fait toujours figure de rival direct du Bose Headphones 700, avec lequel il partage de nombreuses qualités, à l’exception d’une fonctionnalité absente : la connexion Bluetooth multipoint. Pour le reste, Sony a su marier ingénierie sonore de haut niveau et confort d’utilisation dans un casque résolument moderne.
Un son immersif et une réduction de bruit impressionnante
La force majeure de ce casque réside dans sa capacité à isoler l’utilisateur de son environnement. Grâce à son processeur QN1 et ses deux microphones intégrés, la réduction de bruit active s’ajuste intelligemment aux conditions ambiantes. Que vous soyez dans un train, un avion ou un bureau bruyant, le WH-1000XM3 atténue les nuisances tout en laissant passer les informations importantes comme les annonces dans les gares ou les aéroports.
Côté qualité sonore, Sony confirme son expertise avec un rendu audio clair, équilibré et puissant. Le casque prend en charge plusieurs codecs haute résolution comme LDAC, AptX et AptX HD, assurant ainsi une restitution fidèle du son, que ce soit en streaming ou via fichiers audio locaux.
Design soigné et confort longue durée
Disponible en noir ou en argent, le WH-1000XM3 arbore un design élégant et sobre. Sa structure circum-auriculaire épouse parfaitement la forme des oreilles, offrant à la fois une bonne isolation passive et un confort remarquable, même lors de longues sessions d’écoute.
Les coussinets en mousse à mémoire de forme, légers et bien ventilés, contribuent également à cette sensation de confort. Ce casque est pensé pour l’usage quotidien, que ce soit dans les transports, au travail ou à la maison.
Une autonomie impressionnante et des fonctions intelligentes
Le casque offre jusqu’à 38 heures d’écoute continue, de quoi tenir plusieurs jours sans recharge. En cas d’urgence, une charge rapide de seulement 10 minutes via le port USB-C permet de récupérer jusqu’à 5 heures d’autonomie.
L’oreillette droite est équipée d’une surface tactile qui permet de gérer la lecture, les appels ou encore d’accéder à l’assistant vocal. Le WH-1000XM3 est compatible avec Google Assistant, rendant les commandes vocales simples et intuitives.
Un excellent rapport qualité-prix
Avec l’arrivée de nouvelles générations, le prix du WH-1000XM3 a considérablement baissé, le rendant encore plus attractif. C’est l’un des rares casques à offrir une telle combinaison de technologie, de confort et de qualité sonore dans cette gamme de prix.
Que vous soyez mélomane exigeant ou simplement en quête d’un casque performant pour vos trajets quotidiens, le Sony WH-1000XM3 reste un investissement judicieux. Son efficacité, sa robustesse et son prix devenu plus accessible en font une valeur sûre sur le marché de l’audio haut de gamme.