

Zverev atteint les demi-finales à Halle malgré un malaise en cours de match
La préparation d’Alexander Zverev pour Wimbledon se poursuit avec succès à Halle, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie. Malgré des problèmes physiques inattendus, le meilleur joueur allemand est parvenu à décrocher son billet pour les demi-finales du tournoi ATP.
Un début de match agité
Dès les premiers échanges contre l’Italien Flavio Cobolli, classé 24e mondial, Zverev a semblé prendre le dessus en réalisant un break rapide. Mais au cours du deuxième jeu, alors que le score affichait 40-40, l’Allemand s’est accroupi en fond de court et a fait signe à l’arbitre qu’il devait quitter le terrain en urgence pour se rendre aux toilettes.
Peu après, de retour sur le court, il a indiqué à son clan qu’il avait été victime de vomissements. « Avant le match, tout allait bien. Puis, soudainement, je me suis senti très mal. J’ai quitté le terrain pour vomir. Je n’avais jamais vécu ça auparavant », a confié Zverev après la rencontre. Malgré ce moment difficile, il estime avoir bien réagi : « Ensuite, je pense que j’ai livré un bon match. »
Un adversaire tenace et un coup involontaire
Progressivement remis de son malaise, Zverev a retrouvé ses sensations. Même lorsqu’il s’est accidentellement frappé le genou gauche avec sa raquette en exécutant un smash pour mener 3-1, il a réussi à en rire, signe que le pire était passé. Pour autant, la rencontre fut loin d’être une promenade de santé.
Cobolli, qui s’était illustré à Hambourg avant Roland-Garros, s’est montré combatif, tenant tête au numéro trois mondial. Malgré six occasions de break, l’Italien n’est jamais parvenu à faire réellement douter Zverev. Ce dernier a su rester solide dans les moments importants, remportant la première manche 6-4 et s’imposant au tie-break dans la seconde (8-6).
Cap sur les demi-finales face à Medvedev
Avec cette victoire, Alexander Zverev se qualifie pour les demi-finales du tournoi sur gazon de Halle. Il y affrontera le Russe Daniil Medvedev, qui a éliminé l’Américain Alex Michelsen en deux sets (6-4, 6-3). La rencontre promet d’être intense entre deux membres du top 10 mondial.
Zverev, champion olympique en 2021, vise à Halle son tout premier titre sur gazon. Le tournoi est doté d’une récompense totale de 2,522 millions d’euros. Cette performance tombe à point nommé, à quelques jours du coup d’envoi de Wimbledon, où l’Allemand espère confirmer son retour au plus haut niveau.

4G et LTE : quelles véritables différences ?
Les termes 4G et LTE sont souvent utilisés de manière interchangeable, ce qui peut prêter à confusion. Pourtant, il existe bel et bien des différences notables entre ces deux technologies mobiles, tant en matière de normes que de performances. Décryptage d’une distinction plus complexe qu’il n’y paraît.
Des standards multiples derrière la 4G
Lorsque l’Union internationale des télécommunications (UIT) a défini les critères techniques de la 4G en 2008, plusieurs technologies ont été regroupées sous cette appellation. Parmi elles, le WiMAX, la HSPA+ et la LTE. Toutefois, ces premières versions n’atteignaient pas encore les débits exigés pour être considérées comme de la “vraie” 4G selon les normes IMT-Advanced.
C’est avec l’arrivée de la LTE-Advanced et de la norme WirelessMAN-Advanced que les véritables performances 4G ont commencé à être atteintes. La LTE-Advanced est une évolution de la LTE classique, proposant des débits beaucoup plus élevés et une meilleure efficacité dans la gestion du réseau.
Pourquoi la LTE a-t-elle été appelée 4G ?
Malgré des performances inférieures, la LTE a pu bénéficier de l’étiquette “4G” pour des raisons essentiellement commerciales. À l’époque, de nombreux opérateurs avaient déjà investi massivement dans cette technologie. L’UIT a donc autorisé l’usage du terme “4G” pour ces réseaux, bien qu’ils ne respectaient pas encore totalement les exigences techniques. D’où l’apparition des expressions “fausse 4G” pour la LTE classique, et “vraie 4G” pour la LTE-Advanced et ses successeurs.
Des différences de débits notables
La LTE dite “classique” permet des vitesses de téléchargement allant jusqu’à 100 Mbps et des vitesses de téléversement pouvant atteindre 50 Mbps. En comparaison, la LTE-Advanced, considérée comme de la “vraie 4G”, peut monter jusqu’à 1 Gbps en téléchargement et 500 Mbps en upload. Soit une différence de performance majeure, notamment pour les usages gourmands en données comme le streaming 4K ou les jeux en ligne.
Et la 4G+ dans tout ça ?
Avec la diversification des appareils et des infrastructures, les opérateurs ont introduit différentes catégories techniques pour désigner les performances réelles atteignables. Cela a conduit à la création de termes simplifiés comme 4G+, voire 4G++, qui correspondent à des évolutions intermédiaires entre la LTE et la LTE-Advanced.
Voici un aperçu des principales catégories et de leurs débits théoriques :
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Catégorie 4 : 150 Mbps en téléchargement, 50 Mbps en upload
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Catégorie 7 : 300 Mbps / 100 Mbps
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Catégorie 9 : 450 Mbps / 50 Mbps
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Catégorie 10 : 450 Mbps / 100 Mbps
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Catégorie 12 : 600 Mbps / 100 Mbps
Ces chiffres représentent des vitesses maximales en conditions optimales. En réalité, peu d’utilisateurs atteignent ces sommets avec un smartphone en situation de mobilité. Les 1 Gbps promis par la LTE-Advanced ne sont réellement accessibles qu’en utilisant un point d’accès fixe à faible mobilité, comme une box 4G très haut débit.
Une avancée continue vers la 5G
En résumé, la LTE est une norme précurseure de la 4G, tandis que la LTE-Advanced en est l’expression la plus aboutie. Si les deux peuvent être appelées “4G”, elles ne proposent pas les mêmes performances. L’introduction de la 4G+ a permis aux opérateurs de mieux distinguer les niveaux de débits offerts, en attendant que la 5G prenne définitivement le relais avec des vitesses encore plus élevées et une latence réduite.

La série record du Dax se poursuit, mais les risques de correction persistent
La Bourse allemande a maintenu sa dynamique positive ce jeudi, à la veille d’une décision cruciale de la Banque centrale européenne (BCE) sur ses taux directeurs. Le Dax, principal indice de Francfort, a atteint un nouveau sommet historique à 24 399 points, progressant encore de 0,31 % en milieu de journée pour se stabiliser à 24 366 points.
Le MDax, qui regroupe les valeurs moyennes, a également poursuivi sa hausse en atteignant 31 147 points, soit son plus haut niveau depuis trois ans, avec un gain de 0,38 %. Sur l’année, il rivalise avec le Dax, les deux indices affichant une performance de plus de 20 %.
Le SDax, dédié aux petites capitalisations, s’est lui aussi illustré en repassant pour la première fois depuis 2021 au-dessus du seuil symbolique des 17 000 points. Quant à l’EuroStoxx 50, l’indice phare de la zone euro, il a progressé de 0,4 %.
L’attention des investisseurs se tourne désormais vers la BCE, qui devrait annoncer en début d’après-midi une baisse de 25 points de base de son taux directeur. Selon Jürgen Molnar, stratège marchés chez RoboMarkets, cette décision est déjà anticipée par les marchés. Ce qui comptera davantage sera le ton adopté par la présidente Christine Lagarde lors de sa conférence de presse. « Le marché table encore sur une nouvelle baisse des taux cette année et pourrait réagir négativement si Lagarde adopte un ton trop prudent », avertit Molnar.
Par ailleurs, une rencontre importante est attendue ce jeudi en soirée, heure d’Europe centrale, entre le nouveau chancelier allemand Friedrich Merz (CDU) et le président américain Donald Trump à la Maison-Blanche. Les discussions devraient porter sur la guerre en Ukraine, les relations au sein de l’OTAN et les tensions commerciales.
Du côté des valeurs individuelles, plusieurs ont été influencées par des changements de recommandations d’analystes. Le titre Bayer a bondi de 5 %, soutenu par une recommandation à l’achat de Goldman Sachs. En revanche, Airbus a perdu 2 %, après que Citigroup a retiré son conseil à l’achat sur le constructeur aéronautique.
Heidelberg Materials a connu un regain d’intérêt après une phase de consolidation, enregistrant une hausse de 3,4 %, ce qui le place juste derrière Bayer parmi les meilleures performances du Dax. Le spécialiste des matériaux de construction figure d’ailleurs parmi les valeurs les plus solides pour 2025 au sein de l’indice.
Enfin, Formycon, entreprise de biotechnologie, a obtenu l’autorisation de commercialiser son biosimilaire du Lucentis, un traitement ophtalmologique, au Brésil. Cette annonce a permis à l’action de grimper de 4,8 % dans le SDax.

Un moment de détente à deux : massage sur mesure et bain flottant dans un spa d’exception à Paris
Situé au cœur du Quartier Latin, Clemens se distingue comme le tout premier spa aquatique de Paris, offrant une expérience de bien-être immersive dans un cadre historique. Niché dans d’anciennes caves voûtées, cet établissement unique en son genre invite les couples à vivre un véritable rituel sensoriel, alliant relaxation profonde et intimité.
Dès l’arrivée, l’atmosphère feutrée du spa enveloppe les visiteurs dans un cocon de sérénité. Le rituel débute par une mise en connexion douce : assis face à face, les amoureux sont invités à se retrouver dans un moment de présence partagée, simplement en se tenant la main. C’est dans ce climat apaisé que les praticiennes prennent ensuite le relais, chacune se consacrant à un massage personnalisé, parfaitement adapté aux besoins de chacun.
L’huile de massage, délicatement parfumée, est appliquée avec soin, procurant une sensation de confort immédiat sans laisser de film gras. Chaque geste est précis, chaque pression mesurée, pour une détente totale du corps et de l’esprit. Le respect du rythme de chacun est au cœur de l’expérience : à la fin du soin, un temps de pause est prévu pour prolonger les bienfaits du massage.
Mais l’expérience ne s’arrête pas là. Le rituel se poursuit dans un bassin privatif, exclusivement réservé pour une durée de 1h15. Là, dans une eau maintenue à 35°C et enrichie en sel d’Epsom, les corps flottent presque en apesanteur, recréant la sensation unique de flottaison en mer Morte. Ce bain flottant, véritable parenthèse de lâcher-prise, amplifie les effets de relaxation.
Tout est pensé pour optimiser le confort : douche à disposition, appuie-têtes flottants, sérum physiologique pour les yeux, banquette de repos et même une ambiance sonore apaisante diffusée sous l’eau. Ce niveau de détail témoigne de l’attention portée à chaque étape du parcours bien-être.
Au fil du temps, Clemens a su affiner ses prestations en tenant compte des retours de sa clientèle. Grâce à cette approche attentive, le spa s’est imposé comme une adresse incontournable pour les amateurs de détente à Paris. Les effets du sel d’Epsom sont d’ailleurs scientifiquement reconnus : une heure de flottaison équivaut à deux voire trois heures de repos profond.
En ressortant, les visages sont apaisés, les corps régénérés, et les esprits allégés. Une expérience unique à vivre en duo, idéale pour se retrouver et partager un moment hors du temps dans l’un des lieux les plus enchanteurs de la capitale.