

Nouveaux Mystères de l’Univers : Galaxies Cachées et Fusions de Trous Noirs Redéfinissent le Cosmos
L’Univers ne cesse de surprendre les astronomes, révélant des voisins insoupçonnés de la Voie lactée et des collisions titanesques de trous noirs. Deux découvertes récentes, issues de recherches internationales, offrent un éclairage inédit sur la formation des galaxies et l’évolution des objets les plus extrêmes de notre cosmos.
Des Galaxies Orphelines en Orbite autour de la Voie lactée
Des chercheurs de l’université de Durham ont récemment dévoilé, grâce à des simulations numériques avancées, l’existence possible de dizaines de petites galaxies presque invisibles, gravitant silencieusement autour de la Voie lactée. Surnommées « galaxies orphelines », ces entités se sont formées lorsque l’attraction gravitationnelle de notre galaxie a arraché à de nombreux satellites leur enveloppe de matière noire, les rendant quasiment indétectables.
L’enjeu scientifique est de taille : découvrir ces galaxies cachées permettrait de valider le modèle de la Matière noire froide lambda (ΛCDM), aujourd’hui référence pour expliquer la structure et l’évolution de l’Univers. Selon cette théorie, seulement 5 % de l’Univers est constitué de matière ordinaire, tandis que la matière noire froide et l’énergie sombre en composent la quasi-totalité.
Jusqu’ici, la présence de ces mini-galaxies n’était confirmée ni dans les simulations, ni par les télescopes. Désormais, de nouveaux outils comme la caméra LSST de l’Observatoire Rubin pourraient permettre de les détecter enfin, renforçant notre compréhension de la façon dont les galaxies grandissent et s’organisent dans l’espace.
Des Trous Noirs Géants et des Fusions Inédites
Parallèlement à cette chasse aux galaxies perdues, une autre découverte fascine la communauté scientifique : la détection d’une collision record entre deux trous noirs massifs. L’événement, nommé GW 231123, a été enregistré le 23 novembre 2023 et représente la fusion la plus massive jamais observée par ondes gravitationnelles, donnant naissance à un objet plus de 225 fois plus lourd que le Soleil.
Ce qui interpelle les spécialistes, c’est que chacun des trous noirs impliqués dépassait la masse limite théorique permise par l’effondrement d’une étoile seule. Les chercheurs pensent donc qu’ils sont le fruit de précédentes fusions, illustrant à quel point l’Univers est un lieu de rencontres et de transformations extrêmes.
Mark Hannam, physicien à l’université de Cardiff, souligne : « Cette observation remet en cause les modèles classiques de formation des trous noirs. Nous devons repenser nos idées sur la croissance de ces objets énigmatiques. »
La Cosmologie Moderne Face à de Nouveaux Défis
Ces deux avancées illustrent la vitalité de la cosmologie moderne. La découverte possible de galaxies satellites ultra-faibles et l’analyse des signaux d’ondes gravitationnelles issues de fusions de trous noirs ouvrent des perspectives inédites : elles questionnent la validité de nos modèles actuels et enrichissent notre compréhension des lois qui régissent l’Univers.
L’essor des nouvelles technologies d’observation, associé à la puissance des supercalculateurs, permet désormais d’explorer des zones jusque-là inaccessibles et de révéler les secrets les plus enfouis du cosmos. Que ce soit à travers l’étude des structures galactiques ou des événements extrêmes comme les fusions de trous noirs, notre regard sur l’Univers continue d’évoluer, porté par une quête de connaissances sans limite.

La Quequetterie : le coffee-shop le plus audacieux et sucré de Paris
Paris regorge d’adresses insolites, mais certaines parviennent à surprendre même les plus avertis. Au cœur du deuxième arrondissement, un petit coin gourmand attire tous les regards et attise la curiosité des amateurs de douceurs : La Quequetterie. Installé rue d’Aboukir, ce coffee-shop a rapidement gagné sa réputation grâce à une spécialité aussi originale que décalée : des gaufres maison généreusement garnies, à la forme pour le moins suggestive.
Depuis son ouverture il y a près d’un an, La Quequetterie n’a cessé de susciter l’enthousiasme et l’étonnement, supplantant l’ancien restaurant Fuumi qui était connu pour ses sushis-burritos. Ce nouveau repère, pensé pour les amateurs de street-food sucrée, invite les plus gourmands à vivre une expérience à la fois drôle et délicieuse.
Ici, on oublie la gaufre traditionnelle. Les créations de La Quequetterie prennent la forme d’un clin d’œil malicieux, tout en misant sur le goût et la générosité. Les curieux affluent pour savourer ces gaufres moelleuses, parfois recouvertes de nappages appétissants et de garnitures originales. L’aspect ludique des pâtisseries fait sourire, mais c’est surtout la qualité de la pâte et l’originalité des saveurs qui séduisent les clients dès la première bouchée.
La carte joue la carte de l’audace avec des recettes aux noms évocateurs comme Sexy Coconut, Black and White, Sugar Daddy, ou encore la fameuse Licorne. Chaque création peut être adaptée selon les envies, avec des options sans gluten pour que chacun puisse en profiter. Et pour ne rien enlever à l’expérience, La Quequetterie propose aussi une version féminine de sa gaufre signature, la « foufoune », tout aussi soignée et gourmande.
L’originalité du concept n’a pas tardé à faire le tour des réseaux sociaux. Les photos des créations ludiques et colorées s’invitent sur les comptes Instagram des foodies parisiens, contribuant au succès viral de l’adresse. Au-delà de la provocation assumée, c’est l’envie de surprendre et de régaler qui anime toute l’équipe de La Quequetterie.
Que l’on vienne pour s’amuser ou simplement pour satisfaire une envie de sucré, La Quequetterie propose une parenthèse légère et gourmande en plein centre de Paris. Une adresse qui assume son humour et son audace, sans jamais négliger la qualité de ses produits, et qui s’est imposée en un temps record comme l’un des spots incontournables pour les amateurs de street-food sucrée dans la capitale.
À la fois impertinente et conviviale, La Quequetterie continue d’attirer les gourmands, les curieux et tous ceux qui aiment se laisser surprendre, prouvant que, même dans un Paris où l’offre culinaire est foisonnante, il est encore possible de se démarquer avec créativité et bonne humeur.

Zverev atteint les demi-finales à Halle malgré un malaise en cours de match
La préparation d’Alexander Zverev pour Wimbledon se poursuit avec succès à Halle, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie. Malgré des problèmes physiques inattendus, le meilleur joueur allemand est parvenu à décrocher son billet pour les demi-finales du tournoi ATP.
Un début de match agité
Dès les premiers échanges contre l’Italien Flavio Cobolli, classé 24e mondial, Zverev a semblé prendre le dessus en réalisant un break rapide. Mais au cours du deuxième jeu, alors que le score affichait 40-40, l’Allemand s’est accroupi en fond de court et a fait signe à l’arbitre qu’il devait quitter le terrain en urgence pour se rendre aux toilettes.
Peu après, de retour sur le court, il a indiqué à son clan qu’il avait été victime de vomissements. « Avant le match, tout allait bien. Puis, soudainement, je me suis senti très mal. J’ai quitté le terrain pour vomir. Je n’avais jamais vécu ça auparavant », a confié Zverev après la rencontre. Malgré ce moment difficile, il estime avoir bien réagi : « Ensuite, je pense que j’ai livré un bon match. »
Un adversaire tenace et un coup involontaire
Progressivement remis de son malaise, Zverev a retrouvé ses sensations. Même lorsqu’il s’est accidentellement frappé le genou gauche avec sa raquette en exécutant un smash pour mener 3-1, il a réussi à en rire, signe que le pire était passé. Pour autant, la rencontre fut loin d’être une promenade de santé.
Cobolli, qui s’était illustré à Hambourg avant Roland-Garros, s’est montré combatif, tenant tête au numéro trois mondial. Malgré six occasions de break, l’Italien n’est jamais parvenu à faire réellement douter Zverev. Ce dernier a su rester solide dans les moments importants, remportant la première manche 6-4 et s’imposant au tie-break dans la seconde (8-6).
Cap sur les demi-finales face à Medvedev
Avec cette victoire, Alexander Zverev se qualifie pour les demi-finales du tournoi sur gazon de Halle. Il y affrontera le Russe Daniil Medvedev, qui a éliminé l’Américain Alex Michelsen en deux sets (6-4, 6-3). La rencontre promet d’être intense entre deux membres du top 10 mondial.
Zverev, champion olympique en 2021, vise à Halle son tout premier titre sur gazon. Le tournoi est doté d’une récompense totale de 2,522 millions d’euros. Cette performance tombe à point nommé, à quelques jours du coup d’envoi de Wimbledon, où l’Allemand espère confirmer son retour au plus haut niveau.

4G et LTE : quelles véritables différences ?
Les termes 4G et LTE sont souvent utilisés de manière interchangeable, ce qui peut prêter à confusion. Pourtant, il existe bel et bien des différences notables entre ces deux technologies mobiles, tant en matière de normes que de performances. Décryptage d’une distinction plus complexe qu’il n’y paraît.
Des standards multiples derrière la 4G
Lorsque l’Union internationale des télécommunications (UIT) a défini les critères techniques de la 4G en 2008, plusieurs technologies ont été regroupées sous cette appellation. Parmi elles, le WiMAX, la HSPA+ et la LTE. Toutefois, ces premières versions n’atteignaient pas encore les débits exigés pour être considérées comme de la “vraie” 4G selon les normes IMT-Advanced.
C’est avec l’arrivée de la LTE-Advanced et de la norme WirelessMAN-Advanced que les véritables performances 4G ont commencé à être atteintes. La LTE-Advanced est une évolution de la LTE classique, proposant des débits beaucoup plus élevés et une meilleure efficacité dans la gestion du réseau.
Pourquoi la LTE a-t-elle été appelée 4G ?
Malgré des performances inférieures, la LTE a pu bénéficier de l’étiquette “4G” pour des raisons essentiellement commerciales. À l’époque, de nombreux opérateurs avaient déjà investi massivement dans cette technologie. L’UIT a donc autorisé l’usage du terme “4G” pour ces réseaux, bien qu’ils ne respectaient pas encore totalement les exigences techniques. D’où l’apparition des expressions “fausse 4G” pour la LTE classique, et “vraie 4G” pour la LTE-Advanced et ses successeurs.
Des différences de débits notables
La LTE dite “classique” permet des vitesses de téléchargement allant jusqu’à 100 Mbps et des vitesses de téléversement pouvant atteindre 50 Mbps. En comparaison, la LTE-Advanced, considérée comme de la “vraie 4G”, peut monter jusqu’à 1 Gbps en téléchargement et 500 Mbps en upload. Soit une différence de performance majeure, notamment pour les usages gourmands en données comme le streaming 4K ou les jeux en ligne.
Et la 4G+ dans tout ça ?
Avec la diversification des appareils et des infrastructures, les opérateurs ont introduit différentes catégories techniques pour désigner les performances réelles atteignables. Cela a conduit à la création de termes simplifiés comme 4G+, voire 4G++, qui correspondent à des évolutions intermédiaires entre la LTE et la LTE-Advanced.
Voici un aperçu des principales catégories et de leurs débits théoriques :
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Catégorie 4 : 150 Mbps en téléchargement, 50 Mbps en upload
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Catégorie 7 : 300 Mbps / 100 Mbps
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Catégorie 9 : 450 Mbps / 50 Mbps
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Catégorie 10 : 450 Mbps / 100 Mbps
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Catégorie 12 : 600 Mbps / 100 Mbps
Ces chiffres représentent des vitesses maximales en conditions optimales. En réalité, peu d’utilisateurs atteignent ces sommets avec un smartphone en situation de mobilité. Les 1 Gbps promis par la LTE-Advanced ne sont réellement accessibles qu’en utilisant un point d’accès fixe à faible mobilité, comme une box 4G très haut débit.
Une avancée continue vers la 5G
En résumé, la LTE est une norme précurseure de la 4G, tandis que la LTE-Advanced en est l’expression la plus aboutie. Si les deux peuvent être appelées “4G”, elles ne proposent pas les mêmes performances. L’introduction de la 4G+ a permis aux opérateurs de mieux distinguer les niveaux de débits offerts, en attendant que la 5G prenne définitivement le relais avec des vitesses encore plus élevées et une latence réduite.

La série record du Dax se poursuit, mais les risques de correction persistent
La Bourse allemande a maintenu sa dynamique positive ce jeudi, à la veille d’une décision cruciale de la Banque centrale européenne (BCE) sur ses taux directeurs. Le Dax, principal indice de Francfort, a atteint un nouveau sommet historique à 24 399 points, progressant encore de 0,31 % en milieu de journée pour se stabiliser à 24 366 points.
Le MDax, qui regroupe les valeurs moyennes, a également poursuivi sa hausse en atteignant 31 147 points, soit son plus haut niveau depuis trois ans, avec un gain de 0,38 %. Sur l’année, il rivalise avec le Dax, les deux indices affichant une performance de plus de 20 %.
Le SDax, dédié aux petites capitalisations, s’est lui aussi illustré en repassant pour la première fois depuis 2021 au-dessus du seuil symbolique des 17 000 points. Quant à l’EuroStoxx 50, l’indice phare de la zone euro, il a progressé de 0,4 %.
L’attention des investisseurs se tourne désormais vers la BCE, qui devrait annoncer en début d’après-midi une baisse de 25 points de base de son taux directeur. Selon Jürgen Molnar, stratège marchés chez RoboMarkets, cette décision est déjà anticipée par les marchés. Ce qui comptera davantage sera le ton adopté par la présidente Christine Lagarde lors de sa conférence de presse. « Le marché table encore sur une nouvelle baisse des taux cette année et pourrait réagir négativement si Lagarde adopte un ton trop prudent », avertit Molnar.
Par ailleurs, une rencontre importante est attendue ce jeudi en soirée, heure d’Europe centrale, entre le nouveau chancelier allemand Friedrich Merz (CDU) et le président américain Donald Trump à la Maison-Blanche. Les discussions devraient porter sur la guerre en Ukraine, les relations au sein de l’OTAN et les tensions commerciales.
Du côté des valeurs individuelles, plusieurs ont été influencées par des changements de recommandations d’analystes. Le titre Bayer a bondi de 5 %, soutenu par une recommandation à l’achat de Goldman Sachs. En revanche, Airbus a perdu 2 %, après que Citigroup a retiré son conseil à l’achat sur le constructeur aéronautique.
Heidelberg Materials a connu un regain d’intérêt après une phase de consolidation, enregistrant une hausse de 3,4 %, ce qui le place juste derrière Bayer parmi les meilleures performances du Dax. Le spécialiste des matériaux de construction figure d’ailleurs parmi les valeurs les plus solides pour 2025 au sein de l’indice.
Enfin, Formycon, entreprise de biotechnologie, a obtenu l’autorisation de commercialiser son biosimilaire du Lucentis, un traitement ophtalmologique, au Brésil. Cette annonce a permis à l’action de grimper de 4,8 % dans le SDax.

Un moment de détente à deux : massage sur mesure et bain flottant dans un spa d’exception à Paris
Situé au cœur du Quartier Latin, Clemens se distingue comme le tout premier spa aquatique de Paris, offrant une expérience de bien-être immersive dans un cadre historique. Niché dans d’anciennes caves voûtées, cet établissement unique en son genre invite les couples à vivre un véritable rituel sensoriel, alliant relaxation profonde et intimité.
Dès l’arrivée, l’atmosphère feutrée du spa enveloppe les visiteurs dans un cocon de sérénité. Le rituel débute par une mise en connexion douce : assis face à face, les amoureux sont invités à se retrouver dans un moment de présence partagée, simplement en se tenant la main. C’est dans ce climat apaisé que les praticiennes prennent ensuite le relais, chacune se consacrant à un massage personnalisé, parfaitement adapté aux besoins de chacun.
L’huile de massage, délicatement parfumée, est appliquée avec soin, procurant une sensation de confort immédiat sans laisser de film gras. Chaque geste est précis, chaque pression mesurée, pour une détente totale du corps et de l’esprit. Le respect du rythme de chacun est au cœur de l’expérience : à la fin du soin, un temps de pause est prévu pour prolonger les bienfaits du massage.
Mais l’expérience ne s’arrête pas là. Le rituel se poursuit dans un bassin privatif, exclusivement réservé pour une durée de 1h15. Là, dans une eau maintenue à 35°C et enrichie en sel d’Epsom, les corps flottent presque en apesanteur, recréant la sensation unique de flottaison en mer Morte. Ce bain flottant, véritable parenthèse de lâcher-prise, amplifie les effets de relaxation.
Tout est pensé pour optimiser le confort : douche à disposition, appuie-têtes flottants, sérum physiologique pour les yeux, banquette de repos et même une ambiance sonore apaisante diffusée sous l’eau. Ce niveau de détail témoigne de l’attention portée à chaque étape du parcours bien-être.
Au fil du temps, Clemens a su affiner ses prestations en tenant compte des retours de sa clientèle. Grâce à cette approche attentive, le spa s’est imposé comme une adresse incontournable pour les amateurs de détente à Paris. Les effets du sel d’Epsom sont d’ailleurs scientifiquement reconnus : une heure de flottaison équivaut à deux voire trois heures de repos profond.
En ressortant, les visages sont apaisés, les corps régénérés, et les esprits allégés. Une expérience unique à vivre en duo, idéale pour se retrouver et partager un moment hors du temps dans l’un des lieux les plus enchanteurs de la capitale.

Jack Draper face à Carlos Alcaraz : duel explosif en quart de finale à Rome
Le choc tant attendu entre Jack Draper et Carlos Alcaraz se joue aujourd’hui en quart de finale de l’Open d’Italie, promettant un affrontement palpitant entre deux des talents les plus en vue du circuit. Le Britannique, numéro un de son pays, espère franchir un cap supplémentaire sur terre battue face à un spécialiste de la surface.
Draper a brillamment passé l’obstacle Corentin Moutet lors du tour précédent, remportant un duel intense face à un adversaire toujours imprévisible. Il retrouve aujourd’hui Alcaraz, qui a, de son côté, écarté Karen Khachanov avec autorité. Le gaucher britannique est en grande forme sur ocre, comme en témoigne sa récente finale au Masters 1000 de Madrid. Mais ce nouveau test, face au champion espagnol, s’annonce d’un tout autre niveau.
Carlos Alcaraz, connu pour sa dextérité et son explosivité sur terre battue, n’a encore jamais affronté Draper sur cette surface. Toutefois, Draper peut s’appuyer sur deux victoires récentes contre l’Espagnol, dont l’une à Indian Wells en mars, où il avait pris le dessus avant de décrocher le titre. Un autre succès aujourd’hui serait un coup d’éclat de taille dans la carrière du joueur britannique.
L’échauffement avant le combat
À quelques minutes du coup d’envoi, Draper et Alcaraz ont pris place sur le court pour un échauffement léger. Draper, dynamique, multiplie les petits sauts pour activer ses jambes et se mettre en condition. Alcaraz, quant à lui, affiche déjà une grande concentration malgré un petit pansement visible sur l’arête de son nez.
L’ambiance est électrique sur le court central. Draper, accueilli par quelques applaudissements du public romain, semble détendu mais déterminé. Il sait que ce sera sa première confrontation avec Alcaraz sur terre battue, une surface où l’Espagnol excelle depuis plusieurs saisons.
Un passé partagé et un avenir à écrire
Les deux joueurs se connaissent bien : ils se sont affrontés à cinq reprises, avec un léger avantage pour Alcaraz, vainqueur de trois de ces duels. Pourtant, Draper a remporté leur dernière rencontre et a prouvé à plusieurs reprises qu’il était capable de faire tomber les meilleurs, notamment sur dur.
L’interrogation demeure : Jack Draper pourra-t-il rééditer l’exploit et s’imposer une nouvelle fois face au jeune prodige espagnol, cette fois sur une surface qui n’est pas sa préférée ? Les premiers échanges s’annoncent cruciaux pour déterminer la physionomie du match.
Le spectacle est lancé sur le court central de Rome. Draper et Alcaraz s’apprêtent à livrer une bataille intense sous les yeux d’un public déjà conquis.

Sony WH-1000XM3 : un casque audio toujours au sommet à prix réduit
Le casque Sony WH-1000XM3 continue de s’imposer comme une référence incontournable parmi les modèles sans fil à réduction de bruit. Malgré l’arrivée de versions plus récentes, ce modèle reste l’un des meilleurs choix pour ceux qui recherchent une expérience audio de haute qualité sans nécessairement opter pour le tout dernier cri.
Le WH-1000XM3 séduit par un équilibre parfait entre performance, confort et prix. Il fait toujours figure de rival direct du Bose Headphones 700, avec lequel il partage de nombreuses qualités, à l’exception d’une fonctionnalité absente : la connexion Bluetooth multipoint. Pour le reste, Sony a su marier ingénierie sonore de haut niveau et confort d’utilisation dans un casque résolument moderne.
Un son immersif et une réduction de bruit impressionnante
La force majeure de ce casque réside dans sa capacité à isoler l’utilisateur de son environnement. Grâce à son processeur QN1 et ses deux microphones intégrés, la réduction de bruit active s’ajuste intelligemment aux conditions ambiantes. Que vous soyez dans un train, un avion ou un bureau bruyant, le WH-1000XM3 atténue les nuisances tout en laissant passer les informations importantes comme les annonces dans les gares ou les aéroports.
Côté qualité sonore, Sony confirme son expertise avec un rendu audio clair, équilibré et puissant. Le casque prend en charge plusieurs codecs haute résolution comme LDAC, AptX et AptX HD, assurant ainsi une restitution fidèle du son, que ce soit en streaming ou via fichiers audio locaux.
Design soigné et confort longue durée
Disponible en noir ou en argent, le WH-1000XM3 arbore un design élégant et sobre. Sa structure circum-auriculaire épouse parfaitement la forme des oreilles, offrant à la fois une bonne isolation passive et un confort remarquable, même lors de longues sessions d’écoute.
Les coussinets en mousse à mémoire de forme, légers et bien ventilés, contribuent également à cette sensation de confort. Ce casque est pensé pour l’usage quotidien, que ce soit dans les transports, au travail ou à la maison.
Une autonomie impressionnante et des fonctions intelligentes
Le casque offre jusqu’à 38 heures d’écoute continue, de quoi tenir plusieurs jours sans recharge. En cas d’urgence, une charge rapide de seulement 10 minutes via le port USB-C permet de récupérer jusqu’à 5 heures d’autonomie.
L’oreillette droite est équipée d’une surface tactile qui permet de gérer la lecture, les appels ou encore d’accéder à l’assistant vocal. Le WH-1000XM3 est compatible avec Google Assistant, rendant les commandes vocales simples et intuitives.
Un excellent rapport qualité-prix
Avec l’arrivée de nouvelles générations, le prix du WH-1000XM3 a considérablement baissé, le rendant encore plus attractif. C’est l’un des rares casques à offrir une telle combinaison de technologie, de confort et de qualité sonore dans cette gamme de prix.
Que vous soyez mélomane exigeant ou simplement en quête d’un casque performant pour vos trajets quotidiens, le Sony WH-1000XM3 reste un investissement judicieux. Son efficacité, sa robustesse et son prix devenu plus accessible en font une valeur sûre sur le marché de l’audio haut de gamme.

Firouzja fait plier la Défense française de Vachier-Lagrave et partage la tête avec Wesley So
Les grands maîtres Alireza Firouzja et Wesley So ont lancé en beauté le Superbet Chess Classic Roumanie 2025 avec chacun une victoire lors de la première ronde. Firouzja s’est imposé dans la Partie du jour face à Maxime Vachier-Lagrave, dans un duel franco-français marqué par une lutte stratégique en Défense française. De son côté, Wesley So a profité d’une grossière erreur du Roumain Bogdan-Daniel Deac au 40e coup dans une finale équilibrée.
La confrontation 100 % indienne entre le champion du monde Gukesh Dommaraju et Praggnanandhaa Rameshbabu a été la plus spectaculaire des trois parties nulles de la journée. Gukesh, qui a même eu une position gagnante à un moment, n’a pas su concrétiser. La partie entre Levon Aronian et Nodirbek Abdusattorov a été la plus brève, conclue rapidement par la nulle, tandis que Fabiano Caruana a tenté sans succès d’exploiter un pion de plus dans une finale de tours contre Jan-Krzysztof Duda.
Une semaine après la fin du Superbet Poland Rapid & Blitz 2025, le Grand Chess Tour se poursuit avec sa deuxième étape. Sur les cinq tournois du circuit, trois sont en cadence rapide et blitz ; cette étape à Bucarest, comme la Sinquefield Cup prévue en août, est jouée au format classique. La grande finale se tiendra à São Paulo, marquant une première pour le circuit en Amérique du Sud.
Neuf joueurs participent à l’ensemble du circuit. Cinq d’entre eux ont déjà joué à Varsovie, où Vachier-Lagrave a brillé en terminant deuxième au classement général du GCT. Il est suivi de Praggnanandhaa, Aronian, Firouzja et Duda.
Quatre joueurs entament leur participation au GCT à Bucarest. Caruana tentera de décrocher une troisième victoire consécutive en Roumanie. Pour Gukesh, il s’agit de sa première apparition en cadence classique depuis sa deuxième place au Tata Steel Chess 2025 (hors tournoi Freestyle). Le numéro six mondial Abdusattorov, le champion du GCT 2021 Wesley So (classé onzième mondial) et le meilleur joueur roumain Deac — invité en tant que wildcard — complètent le tableau.
Le contrôle du temps prévoit 90 minutes pour les 40 premiers coups, avec un ajout de 30 minutes pour le reste de la partie, et un incrément de 30 secondes par coup dès le début. Le tournoi se joue à la ronde entre 10 joueurs dans le cadre prestigieux du Grand Hôtel Bucarest.
La cagnotte s’élève à 350 000 dollars, dont 100 000 dollars pour le vainqueur. Mais l’enjeu va au-delà de la récompense immédiate : les joueurs luttent pour accumuler des points GCT, décisifs pour une place dans le Final Four de São Paulo.
Parmi les deux parties décisives, le choc franco-français a captivé par sa qualité et son intensité.
Firouzja 1-0 Vachier-Lagrave
Vainqueur de deux des trois derniers GCT, Firouzja avait déçu en terminant cinquième à Varsovie. Il a déclaré à GM Cristian Chirila : « Je me suis beaucoup préparé pour ce tournoi, je suis très motivé pour gagner. » Jusqu’ici, sa saison 2025 en cadence classique se résumait à quatre nulles en Bundesliga.
Dès le deuxième coup, Vachier-Lagrave a surpris avec 2…e6, transposant rapidement en Défense française après 3.d3. Firouzja a commenté : « Je m’attendais à une surprise, car j’ai de bons résultats contre lui dans la Najdorf… mais j’étais content de ce que j’ai obtenu. »
Le Franco-Iranien a opté pour l’Attaque indienne du roi, une ouverture autrefois prisée par Bobby Fischer, avec le discret mais stratégique 7.a4 pour éviter les grandes lignes théoriques. Son avantage positionnel s’est transformé en attaque. « J’ai vraiment aimé ma manœuvre avec la tour en h4. Elle sécurise mon roi tout en menaçant. C’était élégant. »
So 1-0 Deac
Dans la seconde partie décisive, So a fait preuve d’honnêteté dans l’analyse : « Je n’ai pas bien joué aujourd’hui, mais il a utilisé énormément de temps. » Il a poursuivi : « Il est toujours en zeitnot chaque année et j’avais complètement oublié… Mais quand il a commencé à consommer du temps dans notre partie, ça m’est revenu. »
L’américain a misé sur 38.g5!? pour compliquer la position avant le 40e coup, une stratégie qui a porté ses fruits. Il a même inventé un terme : « l’attaque temporelle », jouant sur la montre de son adversaire. Deux coups plus tard, Deac s’est effondré, juste avant de bénéficier du bonus de 30 minutes.
So a expliqué la pression psychologique exercée : « Il lui restait une minute pour les 15 dernières minutes… étonnamment, ça a suffi. »

Montmartre : nos meilleures adresses de restaurants à ne pas manquer
Montmartre, véritable emblème de la capitale, continue de séduire les visiteurs venus des quatre coins du monde. Entre ses ruelles pavées, ses escaliers légendaires, ses monuments emblématiques comme le Sacré-Cœur, le Moulin Rouge ou encore le Moulin de la Galette, le quartier offre une atmosphère unique, à la fois pittoresque et authentique.
Pour ceux qui s’y aventurent, la promenade de la place des Abbesses à la place du Tertre promet un charme indéniable. Mais explorer Montmartre, ça creuse ! Heureusement, ce quartier perché sur les hauteurs de Paris regorge d’adresses gourmandes. Voici une sélection de restaurants qui valent le détour, qu’on soit Parisien ou touriste de passage.
L’Hôtel Particulier Montmartre : un havre de paix végétal
À l’abri de l’agitation urbaine, dissimulé derrière le passage du Rocher de la Sorcière, l’Hôtel Particulier Montmartre propose une parenthèse enchantée. Dans une ancienne demeure appartenant à la famille Hermès, ce lieu confidentiel abrite un jardin luxuriant, une terrasse paisible et une table bistronomique raffinée. Du petit-déjeuner au dîner, en passant par le brunch du week-end ou les cocktails en soirée, ce cadre verdoyant est idéal pour se ressourcer.
Bistrotto : l’Italie à petit prix
Rafael Dos Santos, déjà connu pour sa taverne portugaise Sapinho, propose avec Bistrotto une incursion gourmande en terres italiennes. Avec un menu déjeuner dès 12 €, ce bistrot italien à l’ambiance chaleureuse séduit par ses plats généreux et savoureux. Une belle adresse pour se régaler sans se ruiner, en plein cœur de Montmartre.
Le Boréal : la nouvelle adresse tendance signée Top Chef
Imaginé par Philippine Jaillet et Charles Neyers, tous deux candidats de l’édition 2025 de Top Chef, Le Boréal se présente comme un café-bistrot à l’esprit résolument moderne. Le matin, on y savoure un café de qualité ; le midi et le soir, une cuisine de bistrot inventive ; et le week-end, un brunch copieux ravit les gourmands. Le lieu se distingue aussi par son engagement écoresponsable.
Sapinho : une taverne portugaise sur les hauteurs
Sapinho, niché sur les hauteurs de la butte Montmartre, respire la convivialité. Ce restaurant aux accents portugais authentiques propose une cuisine généreuse, à déguster dans une ambiance chaleureuse. On y retrouve les saveurs de Lisbonne sans quitter Paris, dans un cadre simple et accueillant.
L’Almanach Montmartre : entre bistronomie et art
À la croisée des chemins entre gastronomie et création artistique, L’Almanach Montmartre offre une expérience culinaire originale. Installé au sommet de la butte, ce restaurant allie cuisine bistronomique et programmation culturelle. Expositions, performances et bons petits plats se côtoient dans un esprit de partage et de découverte.