

Figma entre en Bourse avec fracas : la plus grande IPO tech américaine soutenue par le capital-risque depuis des années
Une valorisation de près de 20 milliards de dollars dès l’introduction
Figma, la start-up californienne spécialisée dans les logiciels de design collaboratif, a marqué un tournant pour le marché des introductions en Bourse américaines. Mercredi soir, l’entreprise a fixé le prix de son IPO à 33 dollars par action, au-dessus de la fourchette prévue entre 30 et 32 dollars. Cette valorisation dépasse les attentes et reflète un fort intérêt des investisseurs. Elle confère à Figma une capitalisation boursière d’environ 19,3 milliards de dollars, sur la base d’un total de 585 millions d’actions en circulation.
La cotation de Figma débute ce jeudi à la Bourse de New York (NYSE), symbolisant un retour de la confiance dans les IPO technologiques, longtemps mises à l’écart sur fond d’incertitude économique.
Un marché des IPO en pleine reprise en 2025
L’arrivée de Figma sur les marchés s’inscrit dans une dynamique positive pour les entreprises technologiques cette année. Des sociétés comme Circle Internet Group (CRCL) et CoreWeave (CRWV) ont déjà connu des débuts spectaculaires en Bourse : Circle a vu son action grimper de 168 % le jour de son introduction et afficher depuis une hausse de plus de 510 % ; CoreWeave, quant à elle, a progressé de plus de 160 % depuis sa cotation en mars, malgré un démarrage plus modeste.
Avec cette opération, Figma devient la plus grande entreprise technologique américaine soutenue par le capital-risque à entrer en Bourse depuis plusieurs années. Pour un marché du capital-risque en quête de liquidités, cette IPO constitue un signal positif, apportant un peu d’oxygène après une période de ralentissement prolongée.
Levée de fonds et répartition des actions
L’IPO permettra à Figma de lever environ 1,2 milliard de dollars, grâce à la vente de 36,94 millions d’actions. Parmi celles-ci, 12,47 millions seront émises par l’entreprise elle-même, tandis que les actionnaires existants céderont 24,46 millions de titres. Cette répartition montre à la fois la volonté de l’entreprise de se renforcer financièrement et celle de certains investisseurs de sécuriser leurs gains.
Un revirement stratégique après l’échec du rachat par Adobe
La réussite de cette introduction en Bourse intervient deux ans après un tournant majeur pour Figma. En 2023, l’entreprise avait renoncé à son projet de rachat par Adobe, d’un montant de 20 milliards de dollars, en raison des objections soulevées par les autorités européennes de la concurrence. Cette fusion entre deux géants du design numérique avait été jugée problématique pour le maintien d’un marché équitable.
Le PDG Dylan Field a su repositionner l’entreprise dans une logique d’indépendance, séduisant à nouveau les investisseurs par la croissance organique de Figma, sa base d’utilisateurs engagée et son modèle collaboratif largement adopté dans le secteur technologique.
Une dynamique qui pourrait se poursuivre
Si l’action Figma enregistre une envolée lors de sa première séance, elle rejoindra le cercle restreint des sociétés tech ayant réussi leur entrée sur les marchés publics en 2025. Dépassant déjà les prévisions initiales de prix, qui oscillaient entre 25 et 28 dollars selon les estimations internes à l’entreprise, Figma confirme l’engouement qu’elle suscite et renforce son image de licorne de référence.
Alors que Wall Street continue d’observer avec attention chaque nouvelle introduction dans le secteur technologique, Figma ouvre peut-être la voie à une nouvelle génération de sociétés innovantes prêtes à franchir le pas de la Bourse.

La Quequetterie : le coffee-shop le plus audacieux et sucré de Paris
Paris regorge d’adresses insolites, mais certaines parviennent à surprendre même les plus avertis. Au cœur du deuxième arrondissement, un petit coin gourmand attire tous les regards et attise la curiosité des amateurs de douceurs : La Quequetterie. Installé rue d’Aboukir, ce coffee-shop a rapidement gagné sa réputation grâce à une spécialité aussi originale que décalée : des gaufres maison généreusement garnies, à la forme pour le moins suggestive.
Depuis son ouverture il y a près d’un an, La Quequetterie n’a cessé de susciter l’enthousiasme et l’étonnement, supplantant l’ancien restaurant Fuumi qui était connu pour ses sushis-burritos. Ce nouveau repère, pensé pour les amateurs de street-food sucrée, invite les plus gourmands à vivre une expérience à la fois drôle et délicieuse.
Ici, on oublie la gaufre traditionnelle. Les créations de La Quequetterie prennent la forme d’un clin d’œil malicieux, tout en misant sur le goût et la générosité. Les curieux affluent pour savourer ces gaufres moelleuses, parfois recouvertes de nappages appétissants et de garnitures originales. L’aspect ludique des pâtisseries fait sourire, mais c’est surtout la qualité de la pâte et l’originalité des saveurs qui séduisent les clients dès la première bouchée.
La carte joue la carte de l’audace avec des recettes aux noms évocateurs comme Sexy Coconut, Black and White, Sugar Daddy, ou encore la fameuse Licorne. Chaque création peut être adaptée selon les envies, avec des options sans gluten pour que chacun puisse en profiter. Et pour ne rien enlever à l’expérience, La Quequetterie propose aussi une version féminine de sa gaufre signature, la « foufoune », tout aussi soignée et gourmande.
L’originalité du concept n’a pas tardé à faire le tour des réseaux sociaux. Les photos des créations ludiques et colorées s’invitent sur les comptes Instagram des foodies parisiens, contribuant au succès viral de l’adresse. Au-delà de la provocation assumée, c’est l’envie de surprendre et de régaler qui anime toute l’équipe de La Quequetterie.
Que l’on vienne pour s’amuser ou simplement pour satisfaire une envie de sucré, La Quequetterie propose une parenthèse légère et gourmande en plein centre de Paris. Une adresse qui assume son humour et son audace, sans jamais négliger la qualité de ses produits, et qui s’est imposée en un temps record comme l’un des spots incontournables pour les amateurs de street-food sucrée dans la capitale.
À la fois impertinente et conviviale, La Quequetterie continue d’attirer les gourmands, les curieux et tous ceux qui aiment se laisser surprendre, prouvant que, même dans un Paris où l’offre culinaire est foisonnante, il est encore possible de se démarquer avec créativité et bonne humeur.

Un moment de détente à deux : massage sur mesure et bain flottant dans un spa d’exception à Paris
Situé au cœur du Quartier Latin, Clemens se distingue comme le tout premier spa aquatique de Paris, offrant une expérience de bien-être immersive dans un cadre historique. Niché dans d’anciennes caves voûtées, cet établissement unique en son genre invite les couples à vivre un véritable rituel sensoriel, alliant relaxation profonde et intimité.
Dès l’arrivée, l’atmosphère feutrée du spa enveloppe les visiteurs dans un cocon de sérénité. Le rituel débute par une mise en connexion douce : assis face à face, les amoureux sont invités à se retrouver dans un moment de présence partagée, simplement en se tenant la main. C’est dans ce climat apaisé que les praticiennes prennent ensuite le relais, chacune se consacrant à un massage personnalisé, parfaitement adapté aux besoins de chacun.
L’huile de massage, délicatement parfumée, est appliquée avec soin, procurant une sensation de confort immédiat sans laisser de film gras. Chaque geste est précis, chaque pression mesurée, pour une détente totale du corps et de l’esprit. Le respect du rythme de chacun est au cœur de l’expérience : à la fin du soin, un temps de pause est prévu pour prolonger les bienfaits du massage.
Mais l’expérience ne s’arrête pas là. Le rituel se poursuit dans un bassin privatif, exclusivement réservé pour une durée de 1h15. Là, dans une eau maintenue à 35°C et enrichie en sel d’Epsom, les corps flottent presque en apesanteur, recréant la sensation unique de flottaison en mer Morte. Ce bain flottant, véritable parenthèse de lâcher-prise, amplifie les effets de relaxation.
Tout est pensé pour optimiser le confort : douche à disposition, appuie-têtes flottants, sérum physiologique pour les yeux, banquette de repos et même une ambiance sonore apaisante diffusée sous l’eau. Ce niveau de détail témoigne de l’attention portée à chaque étape du parcours bien-être.
Au fil du temps, Clemens a su affiner ses prestations en tenant compte des retours de sa clientèle. Grâce à cette approche attentive, le spa s’est imposé comme une adresse incontournable pour les amateurs de détente à Paris. Les effets du sel d’Epsom sont d’ailleurs scientifiquement reconnus : une heure de flottaison équivaut à deux voire trois heures de repos profond.
En ressortant, les visages sont apaisés, les corps régénérés, et les esprits allégés. Une expérience unique à vivre en duo, idéale pour se retrouver et partager un moment hors du temps dans l’un des lieux les plus enchanteurs de la capitale.

Ather Energy se prépare à son entrée en Bourse : cinq risques majeurs à connaître avant d’investir
L’effervescence reprend sur le marché des introductions en Bourse en Inde, et cette fois-ci, tous les projecteurs sont braqués sur Ather Energy. Après près de deux mois de calme, le fabricant de scooters électriques basé à Bangalore se prépare à tester l’intérêt des investisseurs à travers sa première offre publique. Mais si cette IPO attire l’attention des passionnés de véhicules électriques, elle n’est pas sans zones de turbulence.
Voici un aperçu des éléments essentiels à considérer avant de souscrire à cette opération, notamment les risques signalés par Ather Energy dans son projet de prospectus préliminaire (DRHP).
L’ouverture du carnet d’ordres pour les investisseurs institutionnels est prévue pour le 25 avril. L’allocation des titres sera finalisée le 2 mai, suivie du remboursement des fonds non alloués et du crédit des actions sur les comptes dématérialisés le 5 mai. L’introduction sur les bourses indiennes est quant à elle attendue pour le 6 mai.
IPO d’Ather Energy : cinq risques à surveiller de près
Dans son dossier DRHP, la société a mis en lumière plusieurs risques qui pourraient impacter sa croissance et sa rentabilité à long terme. Voici les cinq points clés à retenir :
1. Des pertes persistantes et des flux de trésorerie négatifs
Depuis sa création, Ather Energy enregistre des pertes et des flux de trésorerie opérationnels négatifs. La société reconnaît dans son prospectus qu’il n’existe aucune garantie qu’elle parviendra à améliorer son efficacité opérationnelle ou à atteindre la rentabilité dans les années à venir.
2. Une histoire opérationnelle encore courte
Ather admet qu’elle en est encore à ses débuts. Avec une expérience limitée dans le secteur, il est difficile, selon ses propres termes, d’évaluer la viabilité de son modèle économique et ses perspectives de développement à long terme.
3. Un marché en évolution et une adoption encore incertaine
Si les véhicules électriques sont souvent désignés comme l’avenir de la mobilité, ce futur reste incertain, notamment dans le segment des deux-roues. Ather souligne que sa croissance future dépendra de l’évolution de la demande et de l’adoption généralisée des scooters électriques. Un développement plus lent ou en-deçà des attentes pourrait impacter négativement son activité, ses résultats financiers et ses perspectives.
4. Une concurrence intense dans le secteur
Le marché des deux-roues électriques devient de plus en plus concurrentiel. Des géants comme Ola Electric, TVS ou encore Bajaj y sont déjà bien implantés. Ather prévient qu’il n’est pas certain qu’elle puisse concurrencer efficacement ces acteurs, que ce soit sur ses marchés actuels ou dans les nouveaux segments qu’elle vise à conquérir.
5. Des plaintes clients déjà recensées
Enfin, la société reconnaît dans son prospectus avoir déjà fait face à des réclamations de clients. Elle admet également qu’il n’existe aucune garantie qu’elle ne recevra pas d’autres plaintes similaires à l’avenir, ni qu’elle sera en mesure de les traiter efficacement.
En résumé, bien que l’introduction en Bourse d’Ather Energy suscite l’intérêt dans un secteur porteur, les investisseurs potentiels doivent garder à l’esprit les incertitudes qui entourent son modèle d’affaires, sa rentabilité future et sa capacité à s’imposer face à des concurrents bien établis. Une décision d’investissement devra donc s’appuyer sur une analyse rigoureuse de ces risques.